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Une soirée au théâtre avec Blanche et Christa

Le soir du premier mars, les élèves (de la première et deux élèves de la terminale) du cours de français du lycée Ursulinen et leur prof Mme Engelhardt sont allés au Pfalzbau à Ludwigshafen pour y voir la représentation d’une adaptation du livre « Antéchrista » d’Amélie Nothomb. Ce livre est un des sujets pour le prochain bac en français.
On est entré dans la salle de théâtre en passant le fond de la scène avec toute l’ électrotechnique du théâtre et le magasin des accessoires.
La scène avait été décorée avec peu de choses dont la plupart étaient noires. L’intrigue du livre « Antéchrista » contient quatre protagonistes mais au Pfalzbau, il y avait seulement une actrice qui exécutait l’histoire. Au début, c’était un peu bizarre mais nous nous en sommes sortis relativement vite.

« Je n'aurais pas voulu être Christa mais j'aurais voulu être aimée comme elle l'était. »

Nathalie Cellier, actrice du théatre Xenia de Karlsruhe, a joué avec beaucoup d’esprit et c’était vraiment impressionant d’être spectateur de cette représentation du conflit entre Blanche, une jeune étudiante timide qui a jamais eu un ami, et Christa qui est le contraire absolu de Blanche. Pourtant, l’actrice joue aussi le père de Blanche et sa mère qui vernit les ongles. Néanmoins, les points de culmination ont toujours été les discussions entre Christa qui prédomine et Blanche qui n’ose rien faire chose contre son « amie » – tout ça joué par une seule actirce. Le développement de cette relation n’est pas seulement passionnant dans le livre mais aussi à la représentation.
Le fait qu’on a déjà lu ce livre était très utile pour comprendre l’actrice discutant pour deux personnes à la fois. Je ne m’étais pas imaginé d’être capable de suivre toute la représentation mais après coup, c’était super (et facile à comprendre).
Ajoutez à cela que cette soirée a été une bonne récapitulation pour le bac en français qui sera en avril. A l’avenir, je n’hésiterai pas de voir une pièce de théâtre jouée en langue originale parce que ce n’est pas si difficile comme on a souvent pensé.

Kristin Berberich, 13